Histoire De La Libre Circulation Des Personnes En
Histoire De La Libre Circulation Des Personnes Parle
La mondialisation : la circulation des hommes et des biens - Géographie - Fiches de Cours pour Coll. ège. La mondialisation d. ésigne l’interd. épendance croissante de la plupart des pays (d. épendance des pays les uns par. économique. Ainsi, les hommes, les marchandises et les flux immat. ériels. (information, capitaux…) circulent de plus en plus rapidement, intens.
Г©ment et profond. Г©ment entre les r.
égions. du monde. Définitions. Capitaux : Somme d’argent en circulation. FMN : Sigle d. ésignant les Firmes Multinationales. Ce sont de grandes entreprises qui ont. és et des annexes (filiales) dans plusieurs pays. Ex. : Shell, Coca- Cola. Flux : Circulation intense de biens, d’hommes ou de donn.
Г©es immat. Г©rielles (comme des. MГ©tropole : Grande ville ayant un r.
Presentation de l'Assemblee nationale, du palais Bourbon, de ses membres (deputes), de son fonctionnement et de son actualite : agenda, travaux en cours (amendements. Dès la création de la Communauté économique européenne, le traité de Rome prévoyait la libre circulation des travailleurs. Ainsi l'article 48 (devenu l'article.
Bibliothèque de la Société de l’Histoire du Protestantisme Français. 54 rue des Saints-Pères, 75007 PARIS Tél. 01 45 48 62 07 Fax 01 45 44 94 87. Voici quelques pistes pour la correction du devoir de lundi dernier des Premières ES2, sur le chapitre 2 d'histoire, Colonisation et Décolonisation. Suivez avec nous le MOOC Histoire des hôpitaux. Unité de recherche Santé Société Université Toulouse Jean Jaurès.
ôle économique et un rayonnement importants. Organisation r. égionale : Rassemblement de plusieurs États voisins pour collaborer dans. écis (l’économie, la d. éfense…). Ex. : l’Union europ. éenne, l'OTAN. PECO : Sigle d. ésignant les Pays d’Europe Centrale et Orientale. Ce sont les pays.
Europe de l’Est qui appartenaient au bloc communiste jusqu’en 1. Pologne, Hongrie).
Triade : Désigne les 3 p. ôles dominants de l’économie mondiale (États- Unis, Japon et. Union europ. éenne). Les dix premiers groupes mondiaux (en 1.
- Une suspension proclamée de la démocratie n'aurait pas manqué de provoquer une révolution. C'est pourquoi il a été décidé de maintenir une démocratie de.
- Site officiel de la mairie. Informations sur les services publics, la culture, le tourisme, l'économie, les sports et les démarches administratives.
- L'histoire des bourses de valeurs retrace les étapes de l'émergence d'espaces de valorisation des obligations puis des actions, du XIII e siècle à nos jours.
- Parution de, Le Procès de la liberté. Une histoire souterraine du XIXe siècle en France, Paris, Editions de la Découverte, 356 p., 24 euros.
Exxon- Mobil. Г‰tats- Unis. Daimler Benz- Chrysler. Allemagne/Г‰tats- Unis. General Motors. Г‰tats- Unis. Mitsubishi. Japon.
Ford. Г‰tats- Unis. Itochu. Japon. 4. Mitsui. Japon. 9. Wal Mart Stores. Г‰tats- Unis.
Shell. Anglo- n. éerlandais. Marubeni. Japon. Groupe. Pays. Groupe. Pays. Avec l’intensification des échanges de toute nature (hommes, marchandises, capitaux, informations) dans. é de mondialisation et de l’apparition d’un « syst. ème monde ». 1. Comment fonctionne la mondialisation ?
A. Des moyens de communication à l’échelle mondiale. Les moyens de transport traditionnels sont encore en plein essor : ils sont stimul.
Г©s par le commerce. Les navires, le chemin de fer, la route (camions) et le fret a. Г©rien assurent un trafic consid. Г©rable. en augmentation chaque ann.
Г©e. Par exemple, le bl. Г© transite par voie fluviale, maritime, puis enfin ferroviaire. ГЁre pour ГЄtre achemin. Г© des Г‰tats- Unis en Russie. De nouveaux moyens de communication sont apparus depuis quelques d. Г©cennies : les satellites (pour la. Г©l. Г©phone et ses d.
ériv. és (fax). Ces moyens modernes permettent. ès rapidement des donn. ées immat. érielles (capitaux, produits financiers. él. évis. ées…) dans le monde. Le d. éveloppement tr. ès rapide de l’informatique permet une circulation imm.
Г©diate des donn. Г©es. On assiste. Г©buts du commerce sur Internet, qui va conna.
Г®tre au xxie si. ГЁcle un essor spectaculaire. Gr. Гўce Г ces divers moyens de communication, les distances entre les hommes ne sont plus un obstacle, les.
Г©es de transmission se r. Г©duisent, le monde semble donc de plus en plus petit. B. Les acteurs de la mondialisation. Les FMN (Firmes multinationales) jouent un r. Гґle majeur dans la mondialisation car elles sont tr. ГЁs. Г©tendues Г la fois Г©conomiquement (une FMN a plusieurs activit. Г©s tr. ГЁs vari.
ées) et g. éographiquement. ésentes dans de tr. ès nombreux pays). Elles repr. ésentent à elles seules 1/3 du commerce. Les FMN sont nombreuses, riches (parfois plus qu’un petit pays) et puissantes (en particulier.
étrole comme Exxon- Mobil). Les organisations r. égionales favorisent également la mondialisation. C’est notamment le cas de celles. ées sur le d. éveloppement des échanges entre leurs pays membres (avec suppression des droits de douane. Elles deviennent des p.
ôles puissants qui commercent avec le reste du monde. ALENA (Accord de libre- échange nord- am. éricain) qui regroupe les États- Unis, le Canada et le Mexique. La plus ancienne et la plus aboutie est l’Union europ. éenne. Enfin, les États du monde se r. éunissent p. ériodiquement pour n. égocier et discuter du commerce mondial.
L’OMC. (Organisation mondiale du commerce, qui a remplac. é le GATT en 1. 99. ée à l'ONU, permet de r. égler les. conflits commerciaux entre pays et de favoriser les échanges internationaux entre pays par la baisse n.
Г©goci. Г©e. des droits de douane. Les aspects de la mondialisation. A. La multiplication des flux. Le commerce international est en plein essor depuis 1. Гўce Г la baisse du co. Г»t des. transports. Il augmente au rythme tr.
ès rapide de 5 % par an. Il se vend et s’ach. ète toujours plus de biens. ême en p. ériode de crise économique. Les r. éseaux de transport sont de plus en plus serr.
és : il est aujourd’hui possible d’acc. éder facilement.
Г des r. Г©gions autrefois isol. Г©es. Les flux qui les utilisent sont donc plus rapides et plus intenses. B. Une circulation tr.
ès vari. ée. La mondialisation se caract. érise avant tout par la circulation croissante des marchandises. Les pays. échangent des produits agricoles (bl. é, fruits tropicaux…), de l’énergie (p. étrole, charbon…), des mati.
ères. premi. ères (fer, cuivre..), des biens manufactur. és (acier, automobiles…). Outre ces biens mat.
ériels, la. mondialisation voit aussi l’essor des flux immat. ériels. L’intensification de la circulation des hommes renforce également la mondialisation. De nos jours. de plus en plus d’individus voyagent dans le monde entier, que ce soit pour les loisirs (tourisme) ou. Les écarts de richesse entre les pays g. én. èrent également des flux. émigrent, à la recherche de meilleures conditions de vie (ex.
Mexicains vers les. États- Unis) : la mondialisation s’accompagne de migrations internationales. Une mondialisation in.
Г©gale. A. La mondialisation se concentre sur quelques p. Гґles. Dans les pays, tous les espaces ne sont pas Г©galement concern. Г©s par la mondialisation : ce sont les. Г©conomie qui en b. Г©n. Г©ficient le plus.
Parmi les principaux, on trouve : Les ports et a. Г©roports qui sont des lieux privil. Г©gi. Г©s de la mondialisation. Les flux y sont intenses et.
à échelle internationale. De nombreuses entreprises s’implantent dans les zones industrialo- portuaires (ex. Singapour) ou a. éroportuaires (ex. Roissy), pour être proches des march. és mondiaux. Les grandes villes qui constituent également des moteurs de l’économie mondiale. Les m. étropoles jouent un.
ôle important de d. écision, en particulier lorsqu’il s’agit de capitales (Paris, Londres, Tokyo) car elles. ères, si. èges sociaux des grandes entreprises, bourse…). B. Le r. ôle central de la Triade. Trois p. ôles (États- Unis, Japon et Union europ. éenne) dominent l’économie mondiale et sont à l’origine de la. Triade. Le poids de la Triade dans l’économie mondiale est consid.
Г©rable. Elle repr. Г©sente 7. 0 % du commerce mondial. On y compte les 1.
La Triade domine économiquement d’autres espaces, qui d. épendent étroitement d’elle. Chaque p. ôle de la Triade. économique : le Canada et l'Am.
érique latine pour les États- Unis, le reste de. Europe et les pays m. éditerran. éens pour l’Union europ. éenne, l’Asie- Pacifique pour le Japon. C. Le reste du monde participe moins à la mondialisation. Le tiers monde dans son ensemble est moins impliqu. é dans la mondialisation en raison de son retard économique.
Cependant, certains pays (Cor. ée du Sud, Mexique…) sont plus avanc. és que d’autres et b. én. éficient de la. En revanche, les plus pauvres (pays d’Afrique, d’Am. érique centrale…), ou bien ceux en.
économiquement domin. és par les pays d. évelopp. és et sont à l'écart de l’économie mondiale. Ainsi l’Afrique qui ne repr. ésente que 1 % des exportations mondiales. La Russie, les autres États issus de l’ex- URSS et les PECO connaissent de graves difficult. és économiques.
Depuis les ann. ées 1. ériode de passage à l’économie de march. é, leur situation est. ère : ils souhaitent s’int. égrer à la mondialisation de l’économie, mais ils sont en retard. évelopp. és. La mondialisation est un ph. énom. ène économique qui s’acc.
él. ère depuis 1. Elle concerne de fa. çon in. égale. les diff. érents pays du monde. Source d’enrichissement pour certains, elle renforce en m.
ГЄme temps des in. Г©galit. Г©s. (entre pays, r.
égions, riches et pauvres…).
Le blog Histoiregeoenforce - Blog qui peut être utile pour l'enseignement de l'histoire et de la géographie au lycée et ailleurs.. SUJET : Le continent américain entre tensions et intégrations régionales. CONSIGNES : En confrontant les deux documents suivants, vous montrerez que le continent américain est marqué par des dynamiques de regroupement entre les Etats le composant mais aussi par des tensions freinant ces tentatives de rapprochement. Vous dégagerez enfin les limites de ces documents pour cerner ces phénomènes géographiques. QUELQUES RAPPELS- Le travail doit bien s'appuyer sur les deux documents donnés et ne doit pas s'apparenter à une composition. - Le travail doit bien s'organiser en fonction des consignes données. Ici, il est recommandé de faire trois paragraphes, correspondant au libellé de la consigne.
Une phrase d'introduction peut être simplement ajoutée mais elle n'est en rien obligatoire. Les deux documents présentés (un texte de géographe sur le Mercosur et une carte des tensions et principales associations régionales) sont relatifs à l’organisation économique mais aussi politique du continent américain. Les deux documents font d’abord référence à des logiques de rapprochement entre les Etats américains.
Ces dernières se retrouvent sur l’ensemble du continent américain. Les documents 1 et 2 rappellent que deux de ces regroupements structurent le continent américain en grandes régions : pour le Nord, l’ALENA (accord de libre- échange nord- américain, signé en 1. Canada, Etats- Unis d’Amérique et Mexique), et pour le Sud le MERCOSUR (Marché commun du Cône Sud), initié en 1. Brésil et Argentine), associant 5 pays d’Amérique latine et accueillant des Etats associés, en particulier les pays andins. A ceux- ci, s’ajoute en fait, comme le souligne le document 2, une multitude d’autres associations, avec par exemple en Amérique centrale le MCCA (marché commun d’Amérique centrale représenté sur la carte). Ces accords entre pays américains sont des accords avant tout économiques dont les objectifs sont de faciliter les échanges de produits, de services mais aussi la circulation des capitaux, donc des investissements, entre les pays signataires.
Comme l’indique le document 1, il s’agit surtout d’accords de libre- échange. Ceci montre que les tentatives de regroupement, si elles suivent une logique de proximité géographique, sont avant tout économiques : l’ALENA représente ainsi un marché de plus de 4.
Mercosur plus de 2. Le document 2 présente également deux tentatives de regroupement à une échelle quasi continentale et non plus simplement régionale : l’UNASUR (Union des Nations Sud- Américaines) pour la totalité des pays d’Amérique du Sud et la ZLEA (zone de libre échange des Amériques) pour la totalité du continent, excepté Cuba. Il s’agit en fait de deux projets concurrents d’intégration du continent américain. La ZLEA était un projet défendu par les Etats- Unis d’Amérique, avec l’administration G. W Bush, au début du XXIe siècle, d’élargissement de l’ALENA à l’ensemble du continent américain. En riposte, à partir de 2. Amérique du Sud ont voulu créer un autre association afin d’éviter la domination économique et libérale des Etats- Unis sur l’ensemble du continent, en prenant davantage comme modèle une organisation du type de l’Union européenne.
Ainsi, l’intégration complète du continent américain formulée de manière interrogative dans la légende de la carte paraît aujourd’hui fortement utopique. Un premier signe des tensions rappelé d’ailleurs par les deux documents est déjà la multiplication des accords à l’échelle du continent, qui aboutissent à sa fragmentation. Par ailleurs, deux autres causes sont évoquées par la carte pour expliquer ces freins. La première se trouve à l’échelle interétatique, c’est à dire entre les Etats, notamment dans les espaces frontaliers, surtout quand le contrôle des ressources et des sources d’énergie est en jeu. On peut par exemple citer les tensions sur les ZEE (zones économiques exclusives) en Amérique centrale, entre le Venezuela et la Colombie ou entre le Pérou, la Bolivie et le Chili. La deuxième se situe à l’échelle continentale où la politique libérale des Etats- Unis jugée historiquement trop intrusive (illustrant la fameuse doctrine du président Monroe : « l’Amérique aux Américains ») est l’objet de rejets de certains Etats sud- américains. Ainsi la carte montre que les Etats- Unis n’arrivent guère à imposer leur hégémonie sur le continent.
Cuba et le Venezuela et dans une moindre mesure la Bolivie sont hostiles au modèle économique et social étatsunien. Les limites des documents pour comprendre ces phénomènes géographiques sont les suivantes. Les deux documents oublient, en effet, les nombreuses autres associations structurant le continent américain, comme la CAN (Communauté andine des Nations) mais aussi l’ALBA (Alliance bolivarienne pour les Amériques). Le document 2 réduit les tensions dans le continent américain à deux seuls facteurs, alors que d’autres peuvent être évoqués comme les zones d’instabilité présentes à l’échelle intra- étatique touchant par exemple le Mexique, la Colombie, voire la Bolivie et le Chili, les problèmes d'immigration illégale notamment entre Mexique et Etats- Unis, mais aussi le fait que les Etats- Unis ne sont pas le seul pays à susciter des réactions de rejet.
Par exemple, le Brésil, pays de plus en plus émergent, est aussi régulièrement accusé d’exercer une influence trop pressante sur ses voisins sud- américains. Document 1 : Le fonctionnement du Mercosur. En 1. 98. 8, le Brésil et l’Argentine ont signé un traité d’intégration, de coopération et de développement qui allait poser les bases du futur marché commun d’Amérique du Sud. Cinq ans plus tard, le 2. Asunción était signé au Paraguay afin de créer un marché commun entre l’Argentine, le Brésil, le Paraguay et l’Uruguay. Le traité établissait clairement que l’objectif à atteindre était la libre circulation des biens, des services et des moyens de production entre les pays membres, à travers l’élimination progressive des droits de douanes. En 1. 99. 6, le Chili et la Bolivie, suivis plus tardivement par le Pérou, la Colombie et l’Equateur, sont devenus des membres associés du Mercosur, renforçant le processus d’intégration du cône Sud.
Avec l’intégration récente du Venezuela, […] ce vaste ensemble économique est désormais en train de prendre une dimension continentale.[…] En accélérant l’intégration de deux principales économies de la région, le Mercosur a favorisé l’émergence d’une vaste zone de libre- échange dont l’influence s’étend sur l’ensemble de l’Amérique du Sud. Grâce à la baisse des barrières douanières, la part des échanges s’est régulièrement accrue, même s’il reste beaucoup de chemin à faire : en 2. Mercosur représentait seulement 9,8 % des importations et des exportations du Brésil. A côté de [l’ALENA et du Mercosur], les autres traités d’intégration régionale apparaissent beaucoup moins cohérents, à la fois sur le plan économique et politique.
De manière paradoxale, ils semblent accentuer la fragmentation de l’Amérique Latine, même s’ils s’inscrivent tous officiellement dans la perspective d’une intégration continentale. Source : A. Musset (dir.), Géopolitique des Amériques, Nathan, 2.