CEMAC business – CEMAC | Guinee s’oppose a la libre circulation. La Guin. Г©e Equatoriale a annonc. Г©, au terme d’un conseil des ministres Г В«caract. ГЁre extraordinaire. В» Г Malabo le vendredi 8 novembre 2. Afrique centrale d. ГЁs le 1er janvier 2.
Finalement les rumeurs venant de la Guin. ée Equatoriale faisant r. écemment état d’un refus des autorit. és de Malabo de «marcher main dans.  la main avec les autres Etats de l’Afrique centrale.
Alors que la libre circulation des personnes et des biens est. le processus d’intégration entamé dans la zone Cemac depuis des années est un outil.
Gabon/Non à la libre Circulation dans la zone monétaire (CEMAC) et oui à la libre circulation dans la zone économique (CEEAC). Le projet de la libre circulation des personnes dans la zone CEMAC n’entrera pas en vigueur dès le premier janvier 2014. Les Etats ne sont pas prêts. . Libre circulation des personnes en zone CEMAC. le maire de tchibanga,dans la. Enjeux et perspectives de la Libre Circulation en zone CEMAC? . sur la question de la libre circulation des. question de la libre circulation en zone Cemac. de la Cemac peut entrer librement dans notre. La libre circulation des personnes dans la zone de la Communauté économique des Etats d' Afrique centrale (CEMAC) est au centre des travaux de la 26è.
» se sont concr. étis. ées. Le 1. ét. é not. é comme une date historique dans le processus d’int. égration de la Communaut.
é économique de l’Afrique centrale (Cemac). Ce jour- l. à , les chefs d’Etat de cette communaut. é sous- r. égionale, r.
éunis en sommet extraordinaire à Libreville, avaient d. écid. é de supprimer les visas pour les ressortissants des pays membres d. ès le 1er janvier 2. Ce qui induirait la libre circulation des biens et des personnes dans les six pays de l’ensemble  sous- r. égional. On pourrait, aujourd’hui, convenir que certains pays de la Cemac avaient emprunt. é ce train de l’int. égration, alors que se d.
. les échanges intracommunautaires dans la zone CEMAC oscillaient entre. elles ne devraient pas affecter son essence même qui est la libre circulation des. Libre-circulation : La Cemac supprime les visas. même si ces deux pays se sont toujours montrés réfractaires à la libre circulation dans cette zone. . La libre circulation des personnes dans la zone CEMAC . la zone CEMAC, la libre circulation officielle des personnes s’apparente à un pari risqué.
Г©roulait dans la Г Libreville, la deuxi. ГЁme Г©dition du New York Forum Africa, juste pour la forme.
De la m. ême mani. ère que l’histoire avait retenu la date du 1. Guin. ée Equatoriale s’est subitement rendue compte qu’elle ne pouvait pas participer à la construction de cette communaut. é. Dans un communiqu. é publi. é sur guineaecuatorialpress. «site officiel du Gouvernement de la République de Guin.
ée équatoriale. », on peut lire.  : «comme vous le savez d. éj. à , le gouvernement de la Guin. ée Equatoriale constate ces jours- ci une situation d’incertitude et, pourquoi pas, de pr.
éoccupation qui pr. évaut parmi les habitants équato- guin. éens par rapport à l’entr. ée en vigueur de cet accord.
». La note indique que le gouvernement de ce pays «s’est renseign. é de cet accord, dont l’application supposerait qu’à partir du 1er janvier 2. États membres de la Cemac, sans avoir besoin du visa correspondant pour entrer dans les pays de destination. ». «Apr. ès avoir analys. é et discut. é du document de l’accord de libre circulation des personnes et des biens dans l’espace de la Communaut. é économique et mon. étaire de l’Afrique centrale (Cemac), le gouvernement de la Guin.
ée Equatoriale a d. écid. é de la non- application de cet accord, en raison de l’existence de plusieurs exigences et conditions par étapes que les États doivent accomplir et assumer pr. éalablement jusqu’à atteindre la libre circulation pr. étendue. De plus, en tenant compte qu’il s’agit d’un sujet qui concerne la souverainet. é nationale, l’accord en question doit être soumis à l’approbation ou non- approbation d’autres organes de l’État tels que la Chambre des d.
Г©put. Г©s et le SГ©nat. В», fixe le communiqu. Г© lu par le ministre d.
él. égu. é de l’Information et de la Presse et porte- parole adjoint du gouvernement équato- guin. éen, Federico Abaga Ondo. Les ann. ées de n. égociations laborieuses pour parvenir à cet accord de libre circulation tombent ainsi à l’eau. La Guin. ée Equatoriale devenue, il y a quelques ann. ées, l’un des premiers producteurs de p. étrole du continent craint en effet d’être envahie par des vagues de migrants venus de ses voisins dont le plus important est le Cameroun.
De m. ême, cette raison est rarement évoqu. ée, d’autres observateurs commencent à voir dans le refus des autorit. és de Malabo, la peur de se faire pi. éger par leurs ennemis- opposants, exil. és et vivant à l’étranger non sans maugr. éer en mijotant des plans pour retourner la situation. Surtout lorsque l’on sait que le pr.
ésident Obiang Ngu. éma est arriv. ée au pouvoir en 1. échec à un projet de putsch. Du c. ôt. é du Gabon, la situation n’est gu.
ГЁre plus rassurante. Des hommes politiques notamment feraient pression pour que les autorit.
és de Libreville reviennent sur leur d. écision de participer à cette libre circulation. Mais, à plusieurs reprises, le porte- parole de la pr. ésidence de la République, Alain- Claude Billie By Nz. é a, dit l’engagement du Gabon ne pas faire machine arri. ère dans l’application de cette d. écision. Ce refus de la Guin.
ée Equatoriale ne sonne pas pour autant la mort de ce projet int. égrationniste. Les autres pays pourront toujours le concr. étiser, ainsi qu’on l’a vu pour la construction de l’Union europ. éenne dont quelques pays n’ont pas adh. ér. é au trait. é de Maastricht.
Quoi qu’il en soit, comme le veut l’évolution actuelle, m. ême si la libre circulation n’est pas pour aujourd’hui dans la zone Cemac, il adviendra forc. ément le temps o. ù elle s’imposera d’elle- m. ême. Car, l’on constate bien que ce sont de grands ensemble qui dominent le monde.
Publi. Г© en association avec Gabon. Review. Auteur: DГ©sir.
Г© Clitandre Dzonteu. After an extraordinary meeting of ministers, Equatorial Guinea announces it will not go ahead with free movement of people and goods as planned for the CEMAC region as of January 1, 2. The rumors from Equatorial Guinea finally prove true.
There had been talk that the Malabo authorities would refuse to “walk hand in hand with the other Central African states.” ​ Yet June 1. CEMAC area. That day, the heads of state of the sub- regional community, meeting in extraordinary summit in Libreville, had decided to abolish visas for nationals of member countries, effective January 1, 2. Free movement of goods and people across the six countries of the union was finally to become a reality. Yes, one could say that the optimism on the sidelines of the New York Forum Africa was perhaps too contagious.
Perhaps some countries just wanted to jump on the unification bandwagon. Alas, in the same manner that history retained June 1. November 8 instead, the date when Equatorial Guinea suddenly realized that it could not participate in the construction of this community. In a statement released on the official website of the Guinean governemnt, guineaecuatorialpress. The Government of Equatorial Guinea has announced its decision not to apply in its territory the Free Movement of Persons and Goods in the Area of the Economic and Monetary Community of Central Africa (CEMAC), given that there is a number of requirements and conditions in stages that the States must first meet and comply with.”“Furthermore, for the government this is an issue for national sovereignty, implying that the agreement in question must be submitted for approval of other state bodies such as the House of Representatives and the Senate,” according to the statement read by sssistant deputy minister of information and press, and spokesman Federico Abaga Ondo.
The years of painstaking negotiations to reach an agreement on free trade thus fall by the wayside. Ever since becoming one of the leading African oil producers a few decades ago, Equatorial Guinea harbors deepset fears of being invaded by waves of poorer migrants from neighboring countries, the most important threat being Cameroon. Although less openly discussed, other observers believe that the Malabo authorities’ refusal might also reflect their anxiety at being trapped by political opponents. These exiles living abroad persistently grumble about plans to turn the situation around. All the more so when one recalling that President Obiang Nguema came to power in 1.
If it is any re- assurance for Guinea, rumours also abound in Gabon. Some politicians are putting pressure on Libreville authorities to reverse their decision for free trade and movement. However, the spokesman for the presidency, Mr. Alain- Claude Billie By Nze has repeatedly re- affirmed Gabon’s commitment to the implementation of this decision.
This rejection by Equatorial Guinea does not necessairly toll the bell for closer unification. Firstly, other CEMAC countries could create a smaller union, as was done for the construction of the European Union, all of whose members (e. United Kingdom) have not ratified the Treaty of Maastricht. Secondly, a “CEMAC light” treaty could start by covering the free flow of goods, and then progressively address the flow of people. Anyhow, even if the CEMAC members are not ready for union now, it will necessarily happen in the future.
After all, larger economic groups dominate the world. Publi. Г© en association avec Gabon. Review. Auteur: DГ©sir. Г© Clitandre Dzonteu.